Bonjour,
Mon calendrier (à l'accueil ou en lien ici) vous montre ma progression des jours consécutifs sans râler... comme toujours depuis maintenant 8 mois.
Vous pouvez dores et déjà consulter la page (à l'accueil en haut) où je référence les livres qui me font évoluer dans ce challenge et les découvertes qui en découlent, d'aiguillages en ponts : nouvelle page de mon blog "La lecture Référence".
Je voulais vous dire que depuis le début j'avais fait le parti prix de ne pas m'influencer par le livre de Christine Lewicki "J'arrête de râler" car je voulais, tout en prenant base sur son blog, découvrir par moi-même toutes les intentions que cela impliquait dans ma réalité. Sachant qu'avant même de lire un article parlant de son blog dans la presse, j'avais déjà tenté en vain en janvier d'arrêter de râler, de pester et de me contrarier inutilement (le rangement, les chauffards, l'ordinateur, les caissières, la télévision, le restau trop cher pas assez bon, le week-end qui ne tourne pas comme on l'anticipait, etc.).
Cela fait quelque jour, que j'ai terminé la lecture du livre (après l'avoir récupéré des mains de ma sœur).
J'avais d'abord lu "3 kifs par jour" de Florence Servan Shreiber, ce qui m'a ouvert les portes de la psychologie positive au gré d'une aventure humaine ressentie (ma moitié l'ayant lu auparavant).
Et donc, le livre de Christine Lewicki m'a réellement permise d'ancrer bien mieux et de comprendre plus avant ce qu' implique le fait de ne pas râler...
Râler ne fait pas avancer...
En effet, l'impatience, la douleur, le conflit, l'incompréhension, la susceptibilité, la tergiversation, la dévalorisation, le jugement à autrui et soi-même (et d'autres), toutes ces émotions, galvanisées négativement par la "râlerie" s'en trouvent devenir gérées, vécus sereinement, et modifiées positivement.
Se mettre à râler ne change absolument rien à la situation, par contre prendre possession de son ressenti et le relativiser, le positiver, nous permet de créer des automatismes de gestion et dans la vie courante apaiser nos propres tensions (stress, déprime etc.) Ce qui nous permet véritablement d'avancer, de créer de nouvelles connexions. De valoriser notre rapport aux autres, amis, famille, commerçants, administrations, etc...
La vie devient plus clairvoyante et la force du sourire stimule les résolutions de gros ou petits soucis, l'encouragement de soi et des autres existe là ancré dans le présent de l'action !
Arrêter de râler, c'est un exercice simple à tenter, recréer d'autres automatismes que cérébralement on ancre véritablement du côté négatif vers le côté positif ; comme d'arrêter de fumer, ou de mettre une pièce dans une tirelire à chaque gros mot que l'on dit.
Mettre un bracelet au poignet (ou un objet dans la poche) et le changer de côté à chaque râlerie observée, permet sans l'ombre d'un doute d'identifier le sérieux ou l'absurdité de la râlerie, de transformer cela en pensées plus positives et de reprogrammer notre mental.
Ceci n'a rien d'une méthode farfelue, c'est simple et c'est ni plus ni moins, une application directe de la psychologie positive lien (lien doc complémentaire). Des études menées depuis la psychologie humaniste, des médecines alternatives, thérapies douces...
Si vous croyez au développement personnel, par les sport (ex.: taï-chi, qigong, yoga etc.), en ces médecines que 75% des Français aiment à s'en approcher pour se soulager (relier à nouveau le corps à l'esprit), l’acuponcture, ostéopathie et bien d'autres...
Alors, vous pourrez croire en la capacité que nous avons à reprogrammer notre pessimisme socialement développé et ancestrale chez nous les français, notamment... Donc ,arrêter de râler, c'est cesser de noircir le tableau, de rendre coupable les autres, de s'auto-flageller, de laisser les situations nous échapper, de grossir les choses, au lieu de les gérer et de profiter du moment présent !
Pour finir, sur cet article qui marque le ton d'une lignée d'autres...
Ma moitié a commencé poignets complices de leur bracelet danseur, le challenge "j'arrête de râler"... Déjà troisième jour de son challenge et comme un air de détente flotte... La lecture de "J'arrête de râler" l'accompagnant aussi...
Se prendre en main n'a rien d'insolite ou de condamnable, dans une société où tout et rien se juge, c'est ici se laisser croire que vivre mieux l'instant présent est possible !
C'est simplement prendre conscience que notre potentiel de vivre les bienfaits de la vie présente est bien mis à mal en râlant au lieu de gratifier ce que l'on a, au moment où on l'a...
Les scientifiques ont démontré que nous naissons avec 50% de gênes emprunts d'optimisme ou de pessimisme (dû aux neurotransmetteurs qui transmettent, entre autres, la sérotonine etc.), à chacun son assimilation. 10% de notre pessimisme ou optimisme serait dû à notre environnement, ce que nous avons etc., et les 40% restants dépendent entièrement de notre faculté à percevoir notre réalité !!!
Alors ? Arrêter de râler c'est positif ou négatif ?
Merci de me lire et de partager cela avec moi !
bisous
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