mardi 22 mai 2012

Jour 52/365 - Un jour de plus pour la cognition

Bonjour tutti,

Hier je partageais une vidéo avec vous sur l'explication de la thérapie cognitive.
Là, certains me diront, à juste titre à mon sens, qu' elle n'est pas franchement claire.

Pour palier à ce manque de clarté dans les explications de ce précédent thérapeute interviewé sur une Web-Tv des Yvelines, voici un maître en son genre que vous trouverez déjà bien référencé sur mon blog :

Christophe André vous explique en 10mns les choses simplement et clairement sur cette vidéo :

Une autre psychothérapeute, Sima Joliat, vous en explique les actions directes en 2mns :


N'oubliez pas que la psychologie positive s’appuie concrètement sur les psychologie cognitive et comportementale.

 Voici pour aller plus loin, un lien où vous pourrez voire cette carte interactive pour trouver les listes des thérapeutes exerçant la thérapie cognitive :

Une fois sur le site en lien ci-dessus, cliquez sur le département souhaité pour trouver les thérapeutes comme l'indique l'image cliquable suivante :


Bonnes célébrations,

Bye tutti.

lundi 21 mai 2012

Jour 51/365 - Repérez, ordonnez et guidez

Bonjour tutti,

Voici ce que je considère comme un article important.
Tout d'abord, dès que vous en avez l'occasion, accordez-vous quinze minutes pour entendre et comprendre cette interview donnée concernant la thérapie cognitive :


Ensuite, pour comprendre les fondamentaux de la psychologie cognitive, d'où vient-elle, que fait-elle et comment l'utiliser ? Voici le lien que je vous donne comme référence première :

Une fois que vous aurez pris connaissance de ces fondamentaux et que vous aurez compris de façon générale ce qu'est la psychologie cognitive, je vous invite à faire votre propre évaluation de vos perceptions cognitives !

Laissez tomber les tests plus qu'approximatifs des psycho-magazines et autres variantes internet et penchez-vous sur de vraies solutions pour détecter vos forces psychologiques et vos vulnérabilités potentielles !!

Sur le même site vous aurez peut-être trouvé ce lien :
==>> Évaluez-vous sur :

http://therapie.cognitive.free.fr/das.html

 

Je pense que vous en apprendrez déjà suffisamment sur vous pour poursuivre au quotidien vos propres sens de vos aspirations, vos objectifs, vos affects, etc... Notez que ceci est à titre d'information, seuls des praticiens professionnels peuvent vous aider si vous traversez des moments difficilement gérables par vous seul.

 

 Pour vous aider, si vous le souhaitez, je vous mets en ligne la version .doc de word modifiable, pour ceux qui ne veulent pas forcément imprimer et qui veulent garder trace de leurs résultats sur pc :

Et pour aller plus loin, voici mon fichier .pdf avec mon résultat, vous saurez tout de moi et surtout vous comprendrez mieux comment procéder :


Pour calculer la note globale de chaque système de valeurs (petit tableau des résultats), il suffit donc de partir du chiffre 0 puis d'ajouter les valeurs + ou - à la suite les unes des autres.

Exemple de calcul :
0
+1=+1
- 1=  0
+2=+2
+1=+3
- 1=+2
Soit la note globale de cet exemple d'un système de valeur est : +2.

Voilà, je souhaite que cet article puisse vous apporter une connaissance toute particulière et j'espère que vous m'en direz des nouvelles...

Bonnes célébrations a tutti !

dimanche 13 mai 2012

Jour 43/365 - Suite à commentaires

Bonjour,

Suite à un commentaire sur mon article précédent ( http://tibysaventures.blogspot.fr/2012/05/jour-41365-extrait-ecriture.html ) , concernant le mot "deuil", je pense important de remettre le mot dans son contexte psychologique. Ceci afin que notre vie continue à prendre son sens positif tel qu'il est important d'être.

"Les étapes du deuil

La séparation définitive avec un être aimé est une épreuve bouleversante. Ces différentes étapes qui jalonnent le deuil sont des réactions normales dont la durée varie selon le vécu des personnes et ne sont pas forcément pathologiques. Elles peuvent le devenir si une personne reste figée dans une de ces étapes.

La tristesse d’une séparation n’est pas à confondre avec une dépression, c’est une réaction normale. Parmi les étapes du deuil, on distingue généralement :

L’anesthésie

Le monde s’est arrêté de tourner, le temps n’existe plus... Il y a une perte de contact avec la réalité. Les personnes se sentent dans un état second, en état de choc. C’est la sidération, on ne peut croire à ce qui vient de se passer.

La phase de recherche

C’est une période où l’on cherche à retrouver l’être aimé. C’est une période angoissante, car on a peur de ne plus entendre sa voix, on a peur même de ne plus reconnaître cette voix. On a peur de ne plus reconnaître non plus les traits de son visage, ses mimiques, ... On se sent dépossédé de l’être aimé. On recherche partout autour de soi les habitudes de l’autre qui habillaient notre vie.

C’est une phase où beaucoup de personnes ont l’impression de vivre des signes indirects de la présence  de celui qui les a quittés : “je sens sa présence près de moi”, “je crois parfois entendre sa voix”, “je pressens qu’il essaie de me contacter”, “elle est venue me voir en rêve”, “ il me protège, je le sens.”...

C’est une période de grande vulnérabilité, où les personnes ne sont pas à l’abri de charlatans, qui peuvent imposer leur pouvoir d’influence.

La phase de dépression réactionnelle

Cette étape devient pathologique, si elle  persiste trop longtemps. C’est une phase de profonde tristesse qui intervient à distance du décès, lorsque la vie de son entourage, si présent au moment du drame, a reprit son rythme quotidien, alors que le rythme de la personne endeuillée est toujours au ralenti.

“Comment peuvent-ils l’avoir oublié aussi vite ?”, “Ils ne voient donc pas que je suis triste et que je souffre ?”

C’est une étape très difficile, car la souffrance y est très forte, exacerbée par le sentiment que les autres ne comprennent rien à cette détresse. Les émotions y sont très vives et sont en étroites relations avec le vécu.

La phase de restructuration

C’est l’intégration du deuil dans une histoire personnelle. Ce n’est en aucun cas l’oubli de celui ou celle qui nous a quittés, mais c’est l’acceptation de rentrer dans le cycle de la vie avec son vécu, si douloureux soit-il. Le travail de deuil est alors réalisé..

Des mots contre des maux : la parole est le remède aux souffrances vécues, elle use le sentiment de culpabilité qui peut ronger ceux qui restent :

    Culpabilité de ne pas avoir fait ce qu’il fallait,
    Culpabilité de ne pas avoir été présent(e),
    Culpabilité de n’avoir pas su ce qu’il fallait dire,
    Culpabilité de ne pas avoir su ou pu montrer son amour pour la personne disparue....

L’enfant et son deuil

Le vécu du deuil pour un enfant , qui a perdu une personne de son entourage, varie en fonction de l’âge de l’enfant.

    De 0 à 3 ans : l’enfant, sur le plan affectif est une sorte « d’éponge ». Il n’a pas conscience de la disparition de l’être, mais il ressent profondément ce que ressentent les autres, comme la tristesse. Il peut être envahi par des angoisses de séparation.
    De 4 à 6 ans : l’enfant a conscience de la mort , mais il la perçoit comme temporaire. Il protège ses parents attristés, trop parfois, car il ne peut exprimer sa propre souffrance, qui peut se réveiller bien des années plus tard  de façon inconsciente et invalidante.
    Entre 7 et 10 ans : Il comprend que la mort est irréversible. Il éprouve un fort sentiment de culpabilité, car il croit que ses pensées ont pu changer le cours des choses.
    L’adolescence est une période à risque, car elle est, à elle seule, une période de deuil (deuil de l’enfance).

Très souvent, les enfants ont besoin de conserver un lien avec la personne disparue et il arrive fréquemment qu’on “surprenne” l’enfant parlant avec elle, parfois il mime cette mort. Ce ne sont pas des réactions anormales.

Les adultes doivent être à l’écoute des enfants : savoir les entourer, ne pas les exclure du temps de fin de vie, ni des cérémonies funéraires, leur expliquer avec des mots simples la situation, les déculpabiliser, les rassurer et leur permettre d’exprimer leur souffrance. Ils ont, eux-aussi, besoin de temps pour réaliser la disparition d’un être.

Dr Jean-louis Crouan" (Doctissimo.fr)

****************

Vous pourrez trouver des notions plus détaillées, telle que la résilience, sur wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Deuil

Cela me parait très important, car l'information est, à mon sens, la fin des déformations et le début de vies plus stables.


Je ne sais pas trop où je me situe, sûrement à la phase de recherche. Une chose est sûre c'est que je comprends de jour en jour mieux ma sœur face à son propre deuil et je persiste à dire qu'elle est extrêmement courageuse et au fond positive !!
Et je comprends de plus en plus ce que peut ressentir mon neveu... la fraternité est quelque chose de bien particulier et de surcroît à l'adolescence ! Mais vous y arriverez !

vendredi 11 mai 2012

Jour 41/365 - Extrait Ecriture Emotionnelle

Bonjour,

J'ai ré-ouvert mon livre, celui qui trône comme un totem dans mon sac à main, comme pour me rappeler le poids de mes engagements !
Décidément, je mettrai du temps pour le lire celui-ci !
La solution intérieure de Thierry Janssen.

Passés ces semaines où de multiples phases se sont manifestées dans mon fort intérieur... Après une semaine que j'ai vécue comme une descente vers des ombres douloureuses et déprimantes, ce matin, j'ai enfin pris mon livre et j'ai lu ces trois pages, le temps d'une petite pause.
Et comme un fait exprès, alors que je ne parvenais pas à revenir écrire sur mon blog, j'avais mis mon marque-page où Thierry Janssen titre en page 111 : "En quête de sens - Écrire".

Je vous invite donc expressément à lire ces trois pages (format poche) en téléchargeant le fichier .pdf ci-dessous, où l'auteur et non moins médecin me confirme ce que j'ai toujours tenté de faire comprendre... Que l'écriture est un vrai médicament. Il met aussi en évidence des études scientifiques :



Si une question vous vient, à celle-ci je vous réponds : non, je n'ai pas abandonné mon challenge. Mais c'est très difficile après un choc émotionnel tel que ce deuil !

Je reviens donc à mes inspirations profondes, comme l'écriture et le partage. Je reviens par ce biais, aussi vers vous qui prenez le temps de me lire.

Je vous remercie une fois encore de le faire avec votre amour. Merci de votre soutien et courage à tous ceux qui doivent continuer de semer la vie sur leur chemin présent et avenir.
J'avais l'élan d'écrire mais là de nouveau il faut du temps...

Partagez, aimez et souriez !

A bientôt...