Bonjour Tutti,
En janvier 2012 j'entrais dans une phase d’acceptation importante. Aujourd'hui même lors d'un échange téléphonique phare avec une personne chère de mon entourage, je m'aperçois d'une échelle graduée qui prend forme en moi.
Voici donc mes débuts sur l'estime de soi sur mon blog et depuis mes nouvelles prises de consciences :
Puis, juin 2012 je ne fais que compléter depuis :
Je m'explique donc...
J'entre en phase de véritable accomplissement de tout ce que je regrettais ne pouvoir frôler auparavant, ma vie professionnelle épanouie et mes passions sociales... !
Je suis en formation professionnelle longue pour acquérir un diplôme du social important pour moi.
Comme je l'exprime déjà sur mon premier article en lien plus haut, j'ai passé l'étape aliénante des regrets éternels d'avoir échoué l'orientation, étant plus jeune, dans ces aspirations d'études sociales...
Les regrets terminés, j'ai entrepris progressivement de consolider ce qui oriente l'estime de soi.
Cette semaine en cours, phénomène "hasardeux" (je ne crois pas au hasard, on finit par accéder à tout ce qui nous ressemble en ouvrant les portes), nous voyons "l'estime de soi"...
Et, je n'avais pas orienté mes recherches dans la théorie des 3 piliers de l'estime de soi en psychologie, ce qui pour beaucoup n'est plus une énigme.
J'ai imbriqué naturellement, en ouvrant mes champs du possible et mes perceptions, de solides étapes reliant les trois piliers... et cela sans en connaître leur théorie étudiée par les chercheurs en psycho...
Mais avant de poursuivre sur moi, (peut-être ou peut-être pas), voici les importants 3 piliers de l'estime de soi expliquée ici par mon maître Christophe André... (Même si dans mon quotidien je m'en réfère à d'autres...)
♥●•٠·˙ஜ۩۞۩ஜ˙·٠•●♥
" L’estime de soi, Christophe André : Les trois piliers de l’estime de soi
L’estime
de soi repose sur trois « ingrédients » : la confiance en soi, la
vision de soi, l’amour de soi. Un bon équilibre entre chacune de ces
trois composantes est indispensable à l’obtention d’une estime de soi
harmonieuse.
L’amour de soi :
C’est l’élément le plus
important. S’estimer implique de s’évaluer, mais s’aimer ne souffre
aucune condition : on s’aime malgré ses défauts et ses limites, malgré
les échecs et les revers, simplement parce qu’une petite voix intérieure
nous dit que l’on est digne d’amour et de respect.
Cet amour de soi
« inconditionnel » ne dépend pas de nos performances. Il explique que
nous puissions résister à l’adversité et nous reconstruire après un
échec. Il n’empêche ni la souffrance ni le doute en cas de difficultés,
mais il protège du désespoir.
Les carences d’estime
de soi qui prennent leur source à ce niveau sont dans doute les plus
difficiles à rattraper. On les retrouve dans ce que les psychiatres
appellent « les troubles de la personnalité », c’est à dire chez des
sujets dont la manière d’être avec les autres les poussent régulièrement
au conflit ou à l’échec
La vision de soi :
Le regard que l’on porte
sur soi, cette évaluation, fondée ou non, que l’on fait de ses qualités
et de ses défauts, est le deuxième pilier de l’estime de soi. Il ne
s’agit pas seulement de connaissance de soi ; l’important n’est pas la
réalité des choses, mais la conviction que l’on a d’être porteur de
qualités ou de défauts, de potentialités ou de limitations.
La confiance en soi
La troisième composante de
l’estime de soi – avec laquelle, du reste, on la confond souvent -, la
confiance en soi s’applique surtout à nos actes. Être confiant, c’est
penser que l’on est capable d’agir de manière adéquate dans les
situations importante.
La confiance en soi
peut donc sembler moins fondamentale que l’amour de soi ou la vision de
soi, dont elle serait une conséquence. C’est en partie vrai, mais son
rôle nous semble primordial dans la mesure où l’estime de soi a besoin
d’actes pour se maintenir ou se développer : des petits succès au
quotidien sont nécessaires à notre équilibre psychologique, tout comme
la nourriture et l’oxygène le sont à notre équilibre corporel.
L’équilibre de l’estime de soi :
Ces trois composantes de
l’estime de soi entretiennent généralement des liens d’interdépendance :
l’amour de soi (se respecter quoi qu’il advienne, écouter ses besoins
et ses aspirations) facilite incontestablement une vision positive de
soi (croire en ses capacités, se projeter dans l’avenir) qui, à son
tour, influence favorablement la confiance en soi (agir sans crainte
excessive de l’échec et du jugement d’autrui).
Il arrive cependant que,
chez certaines personnes, ces ingrédients soient dissociés. Prenons le
cas d’une vision de soi fragile : Le sujet n’a que superficiellement
confiance en lui ; que survienne un obstacle sérieux, ou qui s’éternise,
et l’estime de soi s’effondrera. Autre cas, celui d’un manque d’amour
de soi : cette fois, le sujet a réussis un parcours exceptionnel parce
qu’il était soutenu par une vision très élevée de lui même ; mais un
échec sentimental fera surgir des doutes et des complexes qu’il croyait
enfouis à jamais… Ce peut être enfin un défaut majeur de confiance en
soi : le sujet a reçu une éducation parfaite, ses parents l’ont trop
protégé, aimé, choyé pour lui éviter de souffrir ou de se confronter tôt
aux réalités ; malgré toute l’affection reçue, il sera victime de
doutes permanents sur sa capacité à réussir.
Les nourritures de l’estime de soi :
Sentiment d’être aimé + sentiment d’être compétent
(…) Nous recherchons le
plus souvent à satisfaire deux grands besoins, également indispensables à
notre estime de soi : nous sentir aimés (appréciés, sympathiques,
populaires, désirés, etc.) et nous sentir compétents (performants,
doués, habiles, etc.)"
♥●•٠·˙ஜ۩۞۩ஜ˙·٠•●♥
Et, comme je découvre ou redécouvre avec vous bien souvent les choses, plutôt que de poursuivre sur mes expériences, voici un complément important sur les 3 piliers de l'estime de soi :
http://psychologie.y2cp.com/2011/11/comment-developper-son-estime-de-soi.html
♥●•٠·˙ஜ۩۞۩ஜ˙·٠•●♥
Bonnes célébrations Tutti !!
Be Love, Be Positive. ♥