mardi 29 janvier 2013

Just do it ! Merci !

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mardi 22 janvier 2013

Les messages les plus courts, parfois les meilleurs.

Bonjour tutti,

Voici un partage simple mais souvent efficace ! En deux phases :

1* Christine Lewicki, et ses célébrations, "Happy Birthday, I Have a Dream" :


2* Christophe André 10 photos, 25 citations. 
Je vous ai sélectionné sur "géo.fr" mes coups de cœur photos et retranscrits les citations de Christophe André. [Livret "50 façons de goûter la vie..." partagé par psychologies Mag].
Cliquez sur une photo pour agrandir et parcourir :











jeudi 10 janvier 2013

Les bienfaits du flashback

Bonjour tutti,

J'ai fais un petit flashback...Et je vous en fais part...
C'est impressionnant pour moi, de relire tout ce parcours ici et sur "j'arrête de râler" ! A voir comme cela, cela peut paraitre succinct mais en réalité, cela se passe sur presque deux années de travail, de célébrations, de deuil, de doutes, d'échanges, de lectures, d'introspections, de gratitudes, d'amour et de partage...
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Il y-a eu un début, exemple ceci :
Juin 2011, j'écrivais cela en interview pour une nouvelle "challenger" (qui à ce jour semble avoir laissé tomber) de "j'arrête de râler" :
Aujourd’hui j’avais envie de vous faire partager le témoignage de quelqu’un qui force mon admiration: Tib’ a commencé le challenge « j’arrête de râler » depuis 72 jours et nous offre une vision joyeuse et lucide de son parcours. Un récit qui devrait en motiver plus d’un ! (je vous encourage vivement à lire l’interview jusqu’au bout).

- Qui es tu Tib’ ?

Moi c’est Tib’, c’est aussi mon surnom à la « maison ». J’ai 38 ans mais on s’en moque. On râle à tout âge !
- 29/03/11 début du challenge !

- Avant de commencer ce challenge, qu’est ce qui te faisais vraiment, franchement, râler? 

En voiture j’étais passée maître dans le fait de projeter mes frustrations ! Avec le temps tout prenait une amplitude telle que j’anticipais les moindres mauvais gestes des conducteurs autour de moi. Les distances de sécurité devenaient pour moi l’ennemi public numéro 1 ! Sans parler de la vitesse, et des priorités.

« Regarde celui-là derrière, il va me doubler et il va me coller pour se rabattre juste devant mon nez ! » « Eh voilà, espèce de …. ! » Il finissait par ne plus y avoir assez de choix d’insultes dans mon palmarès!

Dans les derniers temps, c’était quasiment dispute sur dispute chaque fois que j’étais passagère…

Voilà le gros point lugubre de ma « râlerie »! Mais tout était comme ça, même les sorties devenaient des moments de critiques sur tout et surtout sur RIEN ! J’étais bien trop dans l’anticipation, je voulais que tout soit sous mon contrôle et si finalement ce n’était pas comme je me l’étais projetée, eh bien « râlerie » et toute sa clique venaient au galop !
Les contrariétés du au fait de râler après ma moitié étaient telles que le déplaisir était invité même dans les moments de loisirs. Et pourtant, ce n’est pas l’amour qui manque, ni le fait de s’émerveiller !

En fait, je sombrais petit à petit, à cause de l’effet « râlerie », dans  »une négativité »  telle que plus rien ne me faisait envie.

Cependant, je m’étais un peu calmée, car fin de l’année dernière (2010) et les bonnes résolutions de la nouvelle année, j’avais déjà essayé de faire des efforts, mais sans le même résultat.

Et maintenant ?

Maintenant, 72 jours après cette remise en question nécessaire et précieuse (« j’arrête de râler » par Christine Lewicki), c’est moi qui dit, - »mais attends, on est là pour se détendre, on a le choix nous, c’est un privilège de pouvoir avoir des loisirs, alors zen ! »

Je n’envisage plus mes déplacements, je conduis, point c’est tout ; j’ai un but à la fin de ma route et c’est déjà pas mal du tout. Mes sorties, je les mets sur les rails qu’elles méritent, un privilège de pouvoir les vivre !

- Arrêter de râler, finalement ça change quoi ?

Ça change TOUT ! Oui d’accord, c’est facile de dire ça. Physiquement, mon corps se détend, depuis près de 3 ans je souffre de bruxisme (survenu après un incident important) ; bien, j’arrive de plus en plus à le contrôler, car je stimule mes pensées positives. Mes muscles se détendent et mes « vieux os »  me font moins souffrir. La ride du Lion se détend. Par contre je suis déçue, je ne fais toujours qu’un mètre cinquante, je pensais que cela m’aurait fait grandir un peu ! 

Psychologiquement, c’est véritablement libérateur ! Je ne m’étais pas perdue de vue, mais je me redécouvre différemment avec plus de sérénité, les mots se libèrent et les maux conscients et inconscients aussi. Je ne râle plus, je trouve de meilleures expressions et les mots se dévoilent à moi, comme par exemple, « nouvel éveil » ou encore, « oxygène ». Oui, voici les effets secondaires d’arrêter de râler (…de se prendre la tête), moins de colère et de nouvelles façons de penser, de s’exprimer.

Bon, ce n’est pas tous les jours non plus, on ne change pas comme ça ! J’ai juste l’impression d’être une pâte à modeler entre mes propres mains (tiens, encore une nouvelle image). Les murs qui s’amoncelaient deviennent petit à petit des fenêtres grandes ouvertes pour affronter les objectifs naissants. Je n’en suis qu’au début et je calme mon enthousiasme, car je veux que cela soit durable ; que ces découvertes liées à un comportement positif avec d’autres réflexes, soient marquantes et pérennes.

Dans l’action, ça change notre vie relationnelle, je suis plus captive, moins sensible (enfin c’est encore en travaux), je souris plus naturellement avec le cœur, je profite des moments même banals plus facilement. Et les pensées positives à la place des frustrantes, s’exercent à devenir naturelles. Mais enfin, je le dis encore, je n’en suis qu’au début. Alors la suite ne peut-être que meilleure !

- Si tu avais UN truc, un conseil, une astuce à donner aux courageux qui entament le challenge, quel serait-il ?

Après, tout dépend de ce que l’on recherche ; de quoi on a besoin et à quoi on veut arriver. Cependant, je suggérerais de se laisser porter par les sensations, les ressentis sont là pour nous guider aussi, surtout les positifs.

Si on veut approfondir, parce que l’on a conscience que les « râleries » sont aussi dues à des frustrations plus importantes que de la vie quotidienne, comme dans mon cas, j’encourage à l’écriture et/ou l’expression orale. Car les maux on les panse par les mots aussi. Je pense que si pour accompagner le challenge de Christine Lewicki de « j’arrête de râler », je n’avais pas écrit (mon blog et fiches bristoles) ou mis verbalement ce que je ressentais, je n’aurais pas été aussi loin en 70 jours passés avec la danse du bracelet.

Je conseille avant tout, de vivre les choses avec simplicité, car arrêter de râler c’est appuyer sur la pédale de freins des « prises de têtes ».

Bien sûr ceux qui on envie et qui on un peu peur de s’affronter, n’hésitez pas à lire le livre de Christine Lewicki « J’arrête de râler », car au-delà du fait que c’est son challenge, elle l’a véritablement vécu,  a réussi son propre défi seule ! Rien que pour cela, lire ses conseils et impressions, cela ne peut qu’aider à se détendre.

Il n’y a aucun mal à se faire du bien, avoir le « smile » c’est toujours mieux que de voir la vie en gris. Bonnes célébrations !
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Il y a eu une vraie progression cinq mois après, novembre 2011 :


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Il y a eu mon témoignage d'un an de challenge :



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Puis, bientôt deux ans après le challenge victorieux de "j'arrête de râler", ce jour. 
Je reviens pour l'ouverture officieuse, depuis fin novembre 2012, de mon blog en version public (démarche pas facile), vidéo :
[vidéo manquante]


*Je finirai avec une citation : -"Parler est un besoin écouter est un art." FAUST, Tragédie de M. De Goethe, par Albert Stapfer.

Et cet Art, je tente de le cultiver depuis de nombreuses années, mais de façon plus constructive depuis ces presques deux dernières années...

Merci tutti...
Bonnes Célébrations !
Be Life, Be in love, Be positive !

P.S.: Comme depuis le début, je n'aime pas recommencer une vidéo, je préfère garder la sincérité de la première prise, mais peut-être que cela se travaille aussi ;)

dimanche 6 janvier 2013

Bon dimanche au pays de l'amour et la compassion

Bonjour tutti,

Aujourd'hui, c'est dimanche... le 6 janvier. Pour certain une représentation spirituelle qui perdure. Pour d'autres, un bon moment à passer en pleine conscience, juste pour s'abreuver des plaisirs et émotions à partager... Dans tous les cas, il s'agit bien de la meme chose...

Alors en ce jour, pour l'évolution et surtout l'éternel humanité que nous savons être, voici mes images, et deux hommes d'autres temps !

Méditation, inspiration, évolution, compassion... Amour. ***Bien à vous tutti !

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vendredi 4 janvier 2013

L’intelligence émotionnelle, concepts, définition et impacts pédagogiques

Bonjour,

Qui dit cognitivisme, dit positivisme, dit intelligence émotionnelle et plus encore...
N'ayez crainte, je viens de vous trouver un petit article, enfin assez long, mais qui regorge d'explications et de vraies compréhensions...
 
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Cliquez ci-dessous (source) :

Extrait :

Intelligences multiples
  • Les psychologues de la nouvelle génération s’intéressent aux intelligences multiples. Ils reconnaissent le pouvoir et les vertus des émotions, ainsi que leurs dangers. Les émotions nous enrichissent et tout modèle de l’esprit qui les ignore est déficient.
  • La conception traditionnelle de l’antagonisme entre raison et sentiment en est bouleversée. Il ne s’agit pas de remplacer la raison par les émotions, mais de trouver le bon équilibre entre les deux. Le nouveau paradigme vise l’harmonie entre la tête et le cœur. Les émotions sont d’une grande importance pour la raison.
  • Nos facultés affectives nous guident constamment dans nos choix, elles travaillent de concert avec l’esprit rationnel et permettent ou interdisent l’exercice de la pensée. Comme par exemple, qui épouser ? Quel sport pratiquer ? Quelle épargne retraite choisir ? De même, le cerveau rationnel joue un rôle exécutif dans nos émotions, sauf lorsque celles-ci échappent à notre contrôle et que le cerveau émotionnel règne en maître.
  • Pendant longtemps, la place des sentiments dans la vie mentale a été ignorée par la recherche, faisant des émotions un continent en grande partie inexploré par la psychologie scientifique.
  • Aujourd’hui, la science apporte un démenti à ceux qui souscrivent à une conception étroite de l’intelligence et prétendent que le QI est une donnée génétique non modifiable et que notre destinée individuelle est en grande partie prédéterminée.
  • Adopter ce point de vue, c’est balayer la question la plus intéressante : « Qu’est-il possible de faire pour aider nos enfants à mieux réussir dans la vie ? Quels facteurs entrent en jeu lorsque des individus possédant un QI élevé échouent et que d’autres au QI modeste réussissent ?
  • C’est seulement ces dernières années que s’est dégagé un modèle scientifique de l’esprit émotionnel, qui explique comment la plupart de nos actions sont gouvernées par nos émotions.
Émotion et cognition
Cerveau rationnel
  • Réaction plus lente car elle fait intervenir un grand nombre de circuits
  • Évalue d’abord la situation et la réaction vient ensuite
  • La pensée précède le sentiment
  • Jugements plus judicieux
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J'ai ici mis en gras, ce qui est en rapport directe avec mon précédent article, d'hier. 

N'oubliez pas que l'on peut lire, s'instruire mais que la pratique vaut 10 fois mieux que de se contenter du savoir... Alors célébrez, vibrez, vivez vos émotions ! Partagez, méditez...

Bonnes célébrations

jeudi 3 janvier 2013

Heureuse Année XIII, Emotionnelle !

Oui, heureuse, riche et émotionnelle année de la chance ! Ensemble mais aussi en harmonie avec soi... pour que chacun trouve sa place auprès de l'autre...

Voici une petite recherche intéressante... L'année dernière, au début de l'année, je disais à Ludo justement (il disait qu'il aurait voulu calculer son Q.I.), que je pensais que le calcul du QI était potentiellement bien mais qu'il ne mesurait pas tout ce que reflète bien sûr, la personne. Et surtout je pensais qu'alors, il fallait le calculer à différentes étapes de la vie... Bref un développement somme toute simplifié et un échange sur le vif que nous avons eu, enrichissant.

Et comme par "le hasard" qui pour moi n'existe pas, je me trouve en recherchant tout autre chose, confrontée à cela :


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Le Quotient intellectuel ne permet pas d'évaluer l'intelligence réelle d'un individu 
Des chercheurs britanniques ont montré expérimentalement que mesurer le quotient intellectuel (QI) ne suffit pas à évaluer la véritable intelligence globale d’un individu : il faut au moins 3 tests différents. 
Si certains n'hésitent pas à se vanter de posséder un Quotient intellectuel (QI) élevé, cette mesure est-elle véritablement synonyme d'intelligence ? Il semblerait bien que non, comme le confirme une nouvelle étude menée par des chercheurs britannique et publiée dans la revue Neuron.
Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques ont épluché les résultats d’un test d'intelligence en ligne lancé par le Daily Telegraph et le New Scientist voici deux ans, et passé par plus de 110.000 internautes. Complété par des questions personnelles relatives au mode de vie et au cursus scolaire, le test d’une trentaine de minutes et décliné en 12 épreuves, était censé mettre en lumière les capacités de mémoire, de raisonnement, d'attention et de planification des sujets.
En plus de ces données, les chercheurs ont également scanné les cerveaux de 16 volontaires pendant qu'ils passaient le même test. Ils ont ainsi constaté la mobilisation de 3 différents circuits cérébraux, chacun dévolu à un type d'intelligence. En tenant compte de la gamme complète des capacités cognitives testées, les auteurs ont noté que les taux de réussite variables des gens ne pouvaient s'expliquer, là aussi, que par la combinaison d'au moins 3 types d'intelligence, et non par la mesure d’une seule, comme le QI.
"Vous ne pouvez pas ramener les capacités cognitives à moins de trois composantes - la mémoire à court terme, le raisonnement et une composante verbale. Nous connaissons tous des gens qui ont des raisonnements pauvres mais des souvenirs brillants ou des compétences linguistiques fantastiques (…)", commente le Dr Highfield, un des auteurs de l’étude.
Des capacités plus faibles chez les fumeurs et les anxieux
Grâce à cette découverte, ces recherches ont également permis de constater que les jeux de "brain training" (entrainement du cerveau) pratiqués régulièrement par certaines personnes ne semblaient rien changer à leur performance globale, que les adeptes des jeux informatiques avaient des scores significativement plus élevés en raisonnement et en mémoire à court terme, et que les fumeurs et les personnes anxieuses avaient les plus faibles scores dans ce dernier domaine.
"Quand il est question de l’objet le plus complexe connu - le cerveau humain -, l'idée selon laquelle il n'y a qu'une seule mesure de son intelligence ne peut qu’être erronée", conclut le Dr Highfield.
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Fragments d'infos et richesse de perceptions... Continuons ensemble, le chemin n'en sera que plus coloré et parfumé... Bonne année 2013 !

Bonnes célébrations tutti !